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Persévérer : un apprentissage tout au long de la vie

Reading Time: 11 minutes

Dans un monde qui valorise la rapidité, l’instantané, les résultats visibles et immédiats… persévérer peut sembler démodé. Pourquoi continuer quand on peut tout obtenir en quelques clics ? Pourquoi s’accrocher à un rêve, à un projet, quand les obstacles s’accumulent et que le doute s’invite ?

Et pourtant, continuer malgré les difficultés, croire en ses capacités, dépasser le regard des autres et choisir de ne pas abandonner, c’est probablement l’un des plus grands actes de liberté que l’on puisse s’offrir.

Je vais être honnête : je travaille sur ce blog depuis avril. J’ai eu des hauts et des bas. Des moments de doute, d’envie de tout arrêter. Et pourtant je suis là. Parce que j’aime ce que je fais. Parce que chaque petite victoire – le premier commentaire, les premières 500 vues – me rappelle que ça en vaut la peine. Je ne sais pas si j’atteindrai mon objectif des 1000 visiteurs en 100 jours, mais je sais que je vais me donner à fond.

Persévérer, ce n’est pas être infaillible. C’est tomber, se relever, adapter son plan. C’est comprendre que le chemin est aussi précieux que le but. Et que chaque pas compte.

Homme en pleine ascension sur un mur d’escalade, symbole de la persévérance

Pourquoi persévérer est devenu si difficile aujourd’hui ?

Une société du tout, tout de suite

Aujourd’hui, tout est à portée de main : livraison en une heure, applis pour tout, IA pour gagner du temps. Le moindre inconfort est évité, contourné ou lissé. Dans ce contexte, la persévérance peut paraître dépassée, presque ringarde. Pourquoi attendre quand tout semble instantané ?

Pourtant, ce qui a du sens prend du temps. La construction de soi, la réalisation d’un projet, le développement d’une compétence — rien de cela ne se télécharge (hormis pour apprendre).

Prenons Blue Period, ce manga dans lequel Yatora, un élève brillant mais désengagé, découvre la peinture et décide de passer un concours d’art parmi les plus sélectifs. Il réalise vite que la passion seule ne suffit pas. Il faut du travail, du doute, du courage… et surtout de la persévérance.

Fast life, confort et perte du goût de l’effort

Les outils numériques, les réseaux sociaux, les modèles de « réussite facile » ont fragilisé notre capacité à tenir bon. On veut des résultats rapides. Et quand ça n’arrive pas ? On se dit qu’on n’est pas fait pour ça, qu’on n’a pas le talent, la chance, le bon timing.

Mais la vérité, c’est que ceux qui réussissent sont souvent ceux qui tiennent plus longtemps, malgré les chutes.

Tyler Perry, par exemple, a connu la rue, le rejet, des années sans succès. Mais il a persévéré dans sa vision. Aujourd’hui, il possède ses propres studios de cinéma, financés sans l’aide d’Hollywood. Il n’était pas « plus chanceux », juste plus constant.

Et pourtant, persévérer reste la clé du succès

Il y a une phrase que je dis souvent à mes enfants, entendue dans un film :

« Si les autres peuvent le faire, tu peux le faire en mieux. »
Non pas pour créer de la pression, mais pour rappeler que ce que d’autres ont accompli est aussi humainement possible pour nous.

Regarde Francis Ngannou : né dans un village au Cameroun, sans argent, sans papier, travaillant dans des carrières, il a traversé l’enfer pour atteindre son rêve. Il n’a pas « réussi » par miracle. Il a persévéré, jour après jour.

Même dans les œuvres de fiction comme Creed, on voit que c’est la constance, le travail et le mental qui forgent un champion. Pas le pedigree, ni la facilité.

 Jeune femme concentrée sur son ordinateur, persévérant dans son travail

La persévérance, ça s’apprend

Apprendre de ses erreurs pour mieux avancer

On a souvent été conditionnés à voir l’échec comme une fin. Mais échouer, c’est expérimenter. C’est collecter de l’information sur ce qui ne fonctionne pas — pour mieux réajuster.

Regarde Tanjiro, dans Demon Slayer. Il n’est ni le plus fort, ni le plus doué au départ. Mais il apprend de chaque combat. Il chute, saigne, doute… puis se relève et progresse. C’est ce processus qui le rend puissant.

C’est pareil pour nous. On ne devient pas bon sans s’être cassé la figure. Et on ne devient pas persévérant sans avoir goûté à la frustration.

Nina Simone disait :
« Le talent, c’est la discipline. »
Et la discipline, c’est la forme la plus concrète de persévérance.

Relever de petits défis pour construire la confiance

Souvent, on vise un objectif si grand qu’il en devient écrasant. Pourtant, la clé, c’est de découper notre progression en petits défis accessibles.

Moi, par exemple, je célèbre chaque étape de mon blog : un commentaire, 100 vues, un message reçu. Ce sont mes petites victoires. Elles me donnent l’élan pour continuer. C’est motivant, concret, et surtout, ça rend visible le chemin parcouru.

C’est exactement ce qu’on voit dans Move to Heaven, cette série coréenne bouleversante. Chaque mission, chaque deuil, chaque histoire devient un pas de plus dans la reconstruction des personnages. Pas à pas, avec délicatesse et constance, ils avancent malgré la douleur.

Et cette idée, la psychologie la soutient très fortement :

🔹 Le psychologue Albert Bandura a montré que réussir de petits défis augmente notre autoefficacité — c’est-à-dire notre croyance en notre capacité à réussir d’autres défis. Cette confiance progressive est l’un des plus puissants moteurs de la persévérance.
🔹 Le chercheur Karl Weick parle de “petites victoires” (small wins) : selon lui, chaque mini-succès enclenche une dynamique positive. On ne se sent plus dépassé par l’ampleur de la tâche, on se sent en mouvement.
🔹 Enfin, Teresa Amabile a démontré que le sentiment de progresser un peu chaque jour est plus motivant que les récompenses spectaculaires. La motivation se construit dans les petits pas, pas dans les grands bonds.

La persévérance ne naît pas d’un coup de génie, mais d’un enchaînement de petits choix faits avec intention.

Homme regardant une corde d’entraînement, prêt à persévérer malgré la difficulté

Développer sa capacité à se concentrer… et à s’adapter

Dans un monde saturé de notifications, de comparaison permanente et de sollicitations visuelles, rester concentré est un acte de résistance. C’est une forme d’entraînement. Une manière de dire à son cerveau : « Je choisis ce qui compte. »

Simone Biles, la gymnaste la plus titrée au monde, a su dire non à la pression médiatique, aux attentes collectives, pour écouter ses signaux internes. Elle a mis en pause, elle a choisi son équilibre, puis elle est revenue. C’est ça, la vraie persévérance : s’adapter sans abandonner.

Même Barack Obama, dans ses mémoires, revient sur l’importance de s’accorder des moments de calme, de se recentrer pour garder la clarté sur sa mission. Il explique que la concentration sur l’essentiel était sa boussole dans les moments les plus instables.

Ce que dit la science :
Une étude de Baumeister & Tierney (2011) montre que la concentration fonctionne comme un muscle : plus on la sollicite avec des objectifs clairs et limités dans le temps, plus elle devient résistante à la distraction.

Et une autre étude (Gazzaley & Rosen, 2016) démontre que réduire le multitâche numérique améliore significativement la performance cognitive et la capacité à persévérer dans des tâches complexes.

Persévérer, c’est aussi apprendre à faire le tri entre ce qui est urgent… et ce qui est important.

Comment renforcer sa persévérance au quotidien

Créer un plan d’action clair et progressif

Persévérer sans direction, c’est comme courir dans le brouillard. Poser des objectifs SMART (spécifiques, mesurables, atteignables, réalistes, temporellement définis) permet de garder le cap et de réduire la charge mentale.

Moi, j’ai choisi de planifier au mois, à la semaine, puis au jour le jour, avec une évaluation tous les 15 jours. C’est mon point de contrôle pour voir ce qui avance… et ajuster sans culpabilité.

Dans la série Validé, Apash sait que son talent ne suffit pas : il pose des jalons, des contacts, un plan. Et même quand tout s’écroule autour de lui, il s’accroche à sa vision. C’est une belle illustration de ce que signifie « tenir bon », même quand le monde ne te fait pas de cadeau.

Astuce : Note ce que tu peux faire aujourd’hui, sans attendre d’être motivé·e ou parfait·e. Une action imparfaite vaut mieux qu’une intention idéale.

Instaurer une routine et évaluer sa progression

La motivation démarre. Mais c’est la routine qui nous fait continuer.

Ray Charles, devenu aveugle à 7 ans, aurait pu tout abandonner. Mais il a travaillé chaque jour, inlassablement. Il a intégré la musique dans son corps, ses gestes, sa vie. La persévérance chez lui, c’est une affaire de rythme — d’alignement entre passion et discipline.

Créer une routine, ce n’est pas s’enfermer. C’est se donner un socle pour avancer sans devoir se rebooster à chaque fois.

Conseil douceur : choisis un rythme qui te respecte. Évite les plannings militaires si tu traverses une période de fatigue ou de fragilité.

Femme architecte concentrée sur une maquette, symbole de persévérance et de vision

Célébrer chaque petite victoire

Lizzo, pendant des années, a enchaîné les scènes vides, les critiques, le rejet. Et pourtant, elle continuait à jouer de la flûte, à chanter, à écrire. Aujourd’hui, elle est une icône mondiale, mais sa force, elle l’a construite dans les moments où personne ne regardait.

Persévérer, c’est savoir dire :

« J’ai réussi à écrire un paragraphe aujourd’hui. J’ai avancé d’un pas. Et c’est déjà énorme. »

Même Bozoma Saint John, femme noire dans les hautes sphères du marketing mondial (Apple, Netflix, Uber…), a expliqué que ses plus grandes victoires ont été les moments où elle a refusé de se faire petite. Où elle a osé, encore et encore, en se célébrant d’abord pour avoir osé essayer.

Célèbre chaque pas, chaque mail envoyé, chaque page écrite, chaque retour reçu. Ta constance est une réussite.

Ce qui freine notre persévérance (et comment s’en libérer)

Les attentes irréalistes et la comparaison

L’une des plus grandes erreurs quand on commence un projet, c’est de se comparer à quelqu’un qui est déjà arrivé. C’est comme juger une graine parce qu’elle n’est pas encore un arbre.

On ne se compare pas, on s’inspire.

Dans Spider-Man: New Generation, Miles Morales doute de lui en permanence. Il se compare aux autres Spider-Men, se croit « pas prêt », « pas assez ». Et pourtant, c’est en acceptant son propre rythme, en croyant en sa façon unique de faire les choses, qu’il devient un véritable héros.

Ce n’est pas la comparaison qui construit la persévérance. C’est la progression personnelle.

La peur, cette experte des mauvais scénarios

La peur nous souffle à l’oreille des phrases comme :
« Et si j’échoue ? », « Et si on me juge ? », « Et si ce n’est pas assez bien ? »

Mais en réalité, la peur est souvent un indice que l’on est sur un chemin important.
Elle ne vient pas nous empêcher d’avancer, elle vient nous tester, nous demander :
« Est-ce que tu tiens assez à ce projet pour continuer malgré moi ? »

Si un projet te fait peur… c’est peut-être qu’il t’appelle.

Francis Ngannou, combattant UFC, a affronté des peurs bien réelles : traverser les frontières, dormir dans la rue, vivre sans papiers, être rejeté. Et pourtant, il a avancé. Lentement, sans visibilité, mais avec une foi inébranlable. Aujourd’hui, c’est l’un des champions les plus respectés au monde.

La peur peut être un mur… ou une boussole.
À toi de choisir ce que tu en fais.

3 tips pour apprivoiser la peur (sans l’attendre pour avancer)

1. Parle-lui comme à une amie un peu trop protectrice
Écris ce que ta peur te dit, puis réponds-lui avec bienveillance :

“Merci de vouloir me protéger, mais j’ai grandi. Je peux gérer ça.”

2. Visualise-toi après avoir agi, pas avant
Plutôt que d’imaginer ce qui pourrait mal se passer, imagine-toi après avoir essayé, fier·e, soulagé·e, grandi·e. Le cerveau aime les images : donne-lui un scénario positif.

3. Transforme la peur en énergie d’action
Remplace la phrase “J’ai peur de…” par “Je suis en train de…”

Par exemple :
❌ “J’ai peur de lancer ce projet”
✅ “Je suis en train de construire un projet qui me tient à cœur”

Les excuses qu’on se raconte à soi-même

« Je n’ai pas le temps. »
« Je suis trop fatigué·e. »
« Ce n’est pas le bon moment. »
« Je dois d’abord attendre que X soit prêt. »
… ou la plus insidieuse : « Je ne suis pas légitime. »

Soyons clairs : tout le monde se raconte des excuses. Même les plus grands. La différence, c’est que certain·es choisissent d’agir malgré ces pensées.

Apprendre à déjouer la petite voix saboteuse, à la reconnaître sans lui obéir.

Tu n’as pas à attendre d’avoir confiance pour avancer.
Tu peux avancer, et construire la confiance en chemin.

Revenir à notre puissance naturelle

Avant de douter, de procrastiner, de chercher la perfection… on savait.

On savait que tomber faisait partie du chemin. Qu’il fallait essayer, encore et encore, pour apprendre à marcher. Quand nous étions bébés, nous sommes tombés des dizaines, des centaines de fois. Et pourtant, jamais nous n’avons pensé que marcher n’était pas pour nous.

On ne doutait pas. On expérimentait.

À la base, nous savions qu’il n’y avait pas d’obstacle trop grand, juste du temps, de la patience et des essais. Comme la chenille ne doute pas une seconde qu’elle se transformera en papillon, nous étions convaincus, profondément, que nous étions faits pour évoluer.

Mais la vie, les injonctions, les étiquettes, les expériences nous ont appris à douter, à remettre en question notre rythme, nos élans.

Infographie présentant les 5 piliers pour persévérer au quotidien

Se recentrer : à 99 ans, que regretteras-tu vraiment ?

C’est une question simple, mais puissante :

“À 99 ans, est-ce que je regretterai de ne pas avoir été parfaite ? Ou de ne pas avoir été fidèle à mon projet de cœur ?”

Persévérer, ce n’est pas cocher une to-do. C’est honorer une part de soi qu’on ne veut plus trahir. Ce n’est pas refuser de tomber, c’est choisir de se relever, encore.

Même dans le chaos, même quand on n’a pas le contrôle.

Parce que la seule chose que nous contrôlons vraiment, c’est notre manière de réagir. Un train en retard, un enfant malade, une fatigue soudaine… Ce ne sont pas des signes contre nous. C’est juste la vie. Et s’y adapter, sans abandonner notre boussole intérieure, c’est ça le vrai pouvoir.

Revenir à notre puissance naturelle, c’est se dire :
“Je suis capable. J’avance. Même doucement. Mais j’avance.”

Comment devenir son meilleur allié

On est souvent notre premier obstacle : trop critique, trop exigeant·e, jamais satisfait·e.
Et si, pour une fois, on changeait de posture ?
Et si on devenait enfin ce que l’on attend des autres : une voix encourageante, un soutien fidèle, une présence qui rassure ?

Apprivoiser sa voix intérieure

Cette petite voix dans ta tête, tu la connais. Celle qui dit :

“Tu n’as pas avancé aujourd’hui”,
“C’est pas assez bien”,
“Les autres font mieux que toi.”

Et si tu lui répondais :

“C’est ok. J’avance à mon rythme. Et c’est déjà énorme.”

Être son propre allié, c’est interrompre la spirale du jugement, et la remplacer par de la curiosité, de la tendresse, de la lucidité.

Visualiser ses réussites

La visualisation est un outil puissant. Ce n’est pas de la magie, c’est de l’entraînement mental. Le cerveau ne fait pas la différence entre une action vécue et une action mentalement répétée.

Prends 2 minutes chaque matin pour t’imaginer avoir atteint ton objectif.
Ressens ce que tu ressentirais : la fierté, la joie, le soulagement.

C’est ce que font les athlètes comme Simone Biles : ils voient leurs mouvements avant de les exécuter. Et ça change tout.

Lâcher prise sur les détails

À force de vouloir tout contrôler, tout optimiser, tout anticiper… on s’épuise.

Apprends à laisser certaines choses “suffisamment bien”.
Tu n’as pas besoin d’être parfaite. Tu as besoin d’être régulière. Présente. Alignée.

Prendre des pauses pour mieux durer

Persévérer ne veut pas dire forcer. Ça veut dire tenir sur la durée. Et pour durer, il faut respirer.

Un vrai allié ne t’oblige pas à avancer à tout prix.
Il te rappelle aussi quand t’arrêter est une victoire.

Marche, respire, écris, ris, dors, déconnecte.
Parfois, c’est la pause qui recharge ton élan.

La persévérance, en résumé : notre super pouvoir humain

Si l’être humain n’avait pas persévéré, nous en serions encore à l’âge de pierre.
Pas d’écriture, pas de feu, pas de médecine, pas d’exploration spatiale.

C’est en tombant, en ratant, en recommençant, encore et encore, que nous avons évolué. Chaque grande découverte, chaque œuvre, chaque victoire repose sur un cœur qui n’a pas abandonné.

Persévérer, ce n’est pas être parfait.
C’est être vivant, volontaire, en mouvement.
C’est choisir d’avancer malgré la peur, malgré les doutes, malgré les lenteurs.

Et ça, nous en sommes tous capables.
Pas à pas. Jour après jour.
Avec des larmes parfois, mais aussi avec fierté.

La persévérance est une force douce, mais inarrêtable.
Et toi, que vas-tu décider de poursuivre aujourd’hui ?

Ce pouvoir, tu l’as déjà.
Tu l’as prouvé mille fois.
Et tu peux t’y reconnecter, chaque jour.

Alors continue. Même doucement. Même maladroitement.
Parce que chaque pas compte. Et que tu vas y arriver.

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Je célèbre sa victoire après avoir perseverer avec une tasse de café – illustration de la persévérance


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Merci d’avoir pris ce temps pour vous. Et surtout, n’oubliez pas que chaque pas compte.

11 réponses à “Persévérer : un apprentissage tout au long de la vie”

  1. Avatar de Sébastien
    Sébastien

    Merci pour cet article profondément inspirant. Tu réussis à mettre des mots justes sur ce que beaucoup vivent en silence : le doute, l’envie de baisser les bras, mais aussi cette petite voix qui pousse à continuer. J’ai particulièrement aimé la référence à Blue Period et la manière dont tu illustres que la persévérance n’est pas héroïque, mais humaine, fragile et construite petit à petit.

    1. Avatar de Valérie

      Merci Sébastien, ton retour me touche profondément. Blue Period m’a aussi bouleversée par sa façon de montrer que la vraie persévérance naît dans le doute et l’imperfection. Heureuse que cette humanité-là résonne en toi autant qu’en moi 🎨

  2. Avatar de Nathalie PERNIN
    Nathalie PERNIN

    Cette approche progressive est exactement ce qu’on retrouve dans l’investissement campagnard : chaque étape compte, même les plus petites. La persévérance bat toujours la précipitation !

    1. Avatar de Valérie

      Merci Nathalie ! J’adore ce parallèle avec l’investissement campagnard — semer, patienter, persévérer : une belle philosophie commune

  3. Avatar de Aurélia
    Aurélia

    Merci pour cet article inspirant. Ça m’a vraiment fait du bien de le lire. Parfois, on doute, on fatigue, on se demande si on est sur le bon chemin… et puis on tombe sur ce genre de texte, qui remet du sens et redonne de l’élan. Merci pour ce bel écho.

    1. Avatar de Valérie

      Merci Aurélia, ton message me touche — si mes mots ont pu raviver un peu d’élan en toi, alors j’ai déjà tout gagné

  4. Avatar de Stéphane
    Stéphane

    Merci Valérie pour cet article qui donne des forces! Car oui persévérer n’est pas toujours simple. C’est un apprentissage et un chemin semé d’embûches. Mais j’aime bien les tips présentés ici comme célébrer ses petites victoires ou la méthode Pomodoro. Je vais essayer ca!

    1. Avatar de Valérie

      Merci Stéphane ! Je suis ravie que tu repartes avec des outils concrets — célébrer les petites victoires, c’est déjà une grande force

  5. Avatar de lydiedeparis
    lydiedeparis

    Merci pour ce texte à la fois profond, vibrant et ancré dans le réel. Il met des mots justes sur ce que beaucoup vivent en silence.
    La manière dont tu abordes la persévérance, loin des clichés ou des injonctions à « tenir bon », résonne particulièrement avec notre vision de la reconversion : une voie faite d’essais, de doutes, de détours… mais aussi de sens et d’apprentissages.

    Merci d’ouvrir cette porte-là, avec tant de nuances et de courage ✨

    Succès Intérieur

    1. Avatar de Valérie

      Merci du fond du cœur pour ce retour si juste et inspirant — je suis touchée que nos visions de la persévérance résonnent ensemble

  6. Avatar de Rémi
    Rémi

    Merci pour cet article inspirant sur la persévérance. J’ai particulièrement aimé ce passage : « Apprendre à persévérer, c’est accepter que l’échec fait partie du chemin. » Tu nous rappelles avec bienveillance que la route est semée d’embûches, mais que chaque pas compte. Ton écriture est douce et motivante, comme une main tendue pour nous encourager à avancer. Continue à partager cette belle énergie 🙂

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